Récemment, le vice-président de la Réserve fédérale, Jefferson, a exprimé des opinions importantes sur la situation économique américaine. Il prévoit que la croissance économique des États-Unis se maintiendra autour de 1,5 % pour le reste de l'année 2023. Cependant, Jefferson a souligné que, sans le soutien des politiques de la Réserve fédérale, le marché de l'emploi pourrait faire face à une pression significative.
Jefferson a déclaré qu'il soutenait la décision de la Réserve fédérale (FED) de réduire les taux d'intérêt de 25 points de base lors de la réunion de septembre. Cette mesure vise à équilibrer les risques d'inflation qui demeurent au-dessus de l'objectif et la menace croissante sur le marché de l'emploi. Il a souligné : "Actuellement, le marché du travail montre des signes de faiblesse, ce qui signifie que sans un soutien adéquat, le marché de l'emploi pourrait subir une pression importante."
En regardant vers l'avenir, Jefferson prévoit que le taux d'inflation retombera progressivement à l'objectif de 2 % fixé par La Réserve fédérale (FED) après cette année. Cependant, il admet également que les prévisions économiques actuelles font face à une incertitude élevée, principalement en raison de l'impact continu des politiques gouvernementales en matière de commerce, d'immigration, etc.
Il convient de noter que, bien que l'impact des tarifs sur l'inflation et d'autres aspects de l'économie soit actuellement inférieur aux attentes de certains économistes, Jefferson estime que ces effets "se manifesteront davantage dans les mois à venir". Ce jugement indique que les décideurs surveillent de près l'impact à long terme des politiques commerciales sur l'économie.
Dans l'ensemble, le discours de Jefferson reflète l'attitude prudente de la Réserve fédérale (FED) dans le contexte économique complexe actuel, ainsi que ses efforts pour trouver un équilibre entre la promotion de la croissance économique et le maintien de la stabilité du marché de l'emploi.
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LayerZeroHero
· Il y a 4h
On recommence à faire des promesses en l'air.
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ApeDegen
· Il y a 4h
Il suffisait de dire si c'était une hausse ou pas.
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SilentObserver
· Il y a 4h
Baisse des taux d'intérêt, c'est tout ce que je dis.
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StakeOrRegret
· Il y a 4h
Vous pensez que l'emploi est si prometteur ? Attendez-vous à la grande dépression.
Récemment, le vice-président de la Réserve fédérale, Jefferson, a exprimé des opinions importantes sur la situation économique américaine. Il prévoit que la croissance économique des États-Unis se maintiendra autour de 1,5 % pour le reste de l'année 2023. Cependant, Jefferson a souligné que, sans le soutien des politiques de la Réserve fédérale, le marché de l'emploi pourrait faire face à une pression significative.
Jefferson a déclaré qu'il soutenait la décision de la Réserve fédérale (FED) de réduire les taux d'intérêt de 25 points de base lors de la réunion de septembre. Cette mesure vise à équilibrer les risques d'inflation qui demeurent au-dessus de l'objectif et la menace croissante sur le marché de l'emploi. Il a souligné : "Actuellement, le marché du travail montre des signes de faiblesse, ce qui signifie que sans un soutien adéquat, le marché de l'emploi pourrait subir une pression importante."
En regardant vers l'avenir, Jefferson prévoit que le taux d'inflation retombera progressivement à l'objectif de 2 % fixé par La Réserve fédérale (FED) après cette année. Cependant, il admet également que les prévisions économiques actuelles font face à une incertitude élevée, principalement en raison de l'impact continu des politiques gouvernementales en matière de commerce, d'immigration, etc.
Il convient de noter que, bien que l'impact des tarifs sur l'inflation et d'autres aspects de l'économie soit actuellement inférieur aux attentes de certains économistes, Jefferson estime que ces effets "se manifesteront davantage dans les mois à venir". Ce jugement indique que les décideurs surveillent de près l'impact à long terme des politiques commerciales sur l'économie.
Dans l'ensemble, le discours de Jefferson reflète l'attitude prudente de la Réserve fédérale (FED) dans le contexte économique complexe actuel, ainsi que ses efforts pour trouver un équilibre entre la promotion de la croissance économique et le maintien de la stabilité du marché de l'emploi.