Récemment, le premier discours public du nouveau membre du conseil de la Réserve fédérale (FED) Milan a suscité de vives discussions. Dans son discours, il a avancé des arguments en faveur d'une forte réduction des taux d'intérêt, mais cette opinion a été vivement critiquée par l'ancien secrétaire au Trésor américain Summers.
Summers a déclaré dans une émission que le discours de Milan était peut-être l'un des discours les plus faibles qu'il ait jamais vus de la part d'un membre de La Réserve fédérale (FED). Il estime que si c'est là le meilleur argument pour soutenir une forte baisse des taux d'intérêt, alors cet argument est encore moins convaincant qu'il ne l'avait imaginé auparavant.
Milan a mis l'accent dans son discours sur le concept de taux d'intérêt neutre, c'est-à-dire le niveau théorique des taux qui ne stimule ni ne freine l'économie. Il estime que la politique actuelle est trop restrictive et plaide pour une réduction du taux directeur d'environ 2 points de pourcentage. Il convient de noter que Milan a plaidé seul pour une baisse des taux de 50 points de base lors de la réunion de la Réserve fédérale (FED) du 17 septembre.
Bien que Summers soit d'accord avec l'idée de Milan sur l'importance du taux d'intérêt neutre, il a exprimé sa déception quant à la qualité de l'analyse. Il a souligné que l'argumentation de Milan négligeait certains facteurs clés, tels que le déficit gouvernemental croissant.
Pendant ce temps, le président actuel de La Réserve fédérale (FED), Jerome Powell, et d'autres décideurs ont minimisé la valeur de la discussion sur le taux d'intérêt neutre dans la prise de décision en temps réel, ce qui contraste fortement avec le point de vue de Milan.
Ce débat reflète les divergences qui existent entre les décideurs de la politique monétaire américaine et souligne la complexité d'évaluer et de formuler une politique de taux d'intérêt appropriée dans le contexte économique actuel. À mesure que la situation économique évolue, les décisions de La Réserve fédérale (FED) continueront d'être scrutées de près par toutes les parties.
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LayerZeroEnjoyer
· 10-02 06:50
La baisse des taux d'intérêt est devenue une certitude.
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HashRatePhilosopher
· 10-02 06:47
Pourquoi se disputer sur la baisse des taux d'intérêt ? Il suffit de regarder les graphiques.
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NFTregretter
· 10-02 06:42
Le cœur des gens est en chute.
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HashRateHustler
· 10-02 06:41
Parler de baisse des taux d'intérêt, c'est quoi comme compétence ?
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CountdownToBroke
· 10-02 06:37
Dans le rêve de la baisse des taux, il y a tout.
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RektHunter
· 10-02 06:29
Milan est vraiment doux, il a été traité comme un idiot.
Récemment, le premier discours public du nouveau membre du conseil de la Réserve fédérale (FED) Milan a suscité de vives discussions. Dans son discours, il a avancé des arguments en faveur d'une forte réduction des taux d'intérêt, mais cette opinion a été vivement critiquée par l'ancien secrétaire au Trésor américain Summers.
Summers a déclaré dans une émission que le discours de Milan était peut-être l'un des discours les plus faibles qu'il ait jamais vus de la part d'un membre de La Réserve fédérale (FED). Il estime que si c'est là le meilleur argument pour soutenir une forte baisse des taux d'intérêt, alors cet argument est encore moins convaincant qu'il ne l'avait imaginé auparavant.
Milan a mis l'accent dans son discours sur le concept de taux d'intérêt neutre, c'est-à-dire le niveau théorique des taux qui ne stimule ni ne freine l'économie. Il estime que la politique actuelle est trop restrictive et plaide pour une réduction du taux directeur d'environ 2 points de pourcentage. Il convient de noter que Milan a plaidé seul pour une baisse des taux de 50 points de base lors de la réunion de la Réserve fédérale (FED) du 17 septembre.
Bien que Summers soit d'accord avec l'idée de Milan sur l'importance du taux d'intérêt neutre, il a exprimé sa déception quant à la qualité de l'analyse. Il a souligné que l'argumentation de Milan négligeait certains facteurs clés, tels que le déficit gouvernemental croissant.
Pendant ce temps, le président actuel de La Réserve fédérale (FED), Jerome Powell, et d'autres décideurs ont minimisé la valeur de la discussion sur le taux d'intérêt neutre dans la prise de décision en temps réel, ce qui contraste fortement avec le point de vue de Milan.
Ce débat reflète les divergences qui existent entre les décideurs de la politique monétaire américaine et souligne la complexité d'évaluer et de formuler une politique de taux d'intérêt appropriée dans le contexte économique actuel. À mesure que la situation économique évolue, les décisions de La Réserve fédérale (FED) continueront d'être scrutées de près par toutes les parties.