Eh ben dis donc, encore une histoire qui sent bon le pognon ! FINANCIERE DIAMOND, c'est pas des rigolos apparemment. Ils se la jouent start-up de la finance tout en étant adossés à un gros mastodonte du luxe. Pas mal joué les gars !
Faut avouer que leur parcours force le respect. Passer d'une boîte en galère à un chiffre d'affaires de 400 millions en 15 ans, chapeau bas. Ça sent le travail acharné et les nuits blanches.
Mais bon, faut pas non plus se laisser aveugler par les beaux discours. Toute cette histoire de "boucliers financiers" et de "nouvelles frontières de la finance", ça pue un peu le marketing à plein nez. On dirait qu'ils essaient de nous vendre du rêve avec leurs trucs de tokenisation et d'IA.
Ceci dit, je dois reconnaître que certaines de leurs idées ont l'air plutôt malines. Les ELTIF 2.0 par exemple, ça pourrait être une bonne opportunité pour les petits investisseurs de mettre un pied dans le private equity. Et les Cat Bonds, c'est vrai que ça peut être un bon moyen de diversifier son portefeuille.
Après, faut pas déconner non plus. Toutes ces belles promesses de rendements mirobolants, ça cache forcément des risques. Faudrait pas que les gens se jettent tête baissée là-dedans sans réfléchir.
En tout cas, une chose est sûre : ces mecs-là savent y faire pour attirer le chaland. Entre leur track record industriel, leurs partenariats prestigieux et leur blabla techno, ils ont de quoi en mettre plein la vue. Reste à voir si derrière les belles paroles, y a vraiment de la substance.
Perso, je reste prudent. C'est bien beau tout ça, mais faut pas oublier que dans la finance, y a pas de miracle. Celui qui promet monts et merveilles, c'est souvent celui qui te plume à la fin. Méfiance, méfiance...
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Eh ben dis donc, encore une histoire qui sent bon le pognon ! FINANCIERE DIAMOND, c'est pas des rigolos apparemment. Ils se la jouent start-up de la finance tout en étant adossés à un gros mastodonte du luxe. Pas mal joué les gars !
Faut avouer que leur parcours force le respect. Passer d'une boîte en galère à un chiffre d'affaires de 400 millions en 15 ans, chapeau bas. Ça sent le travail acharné et les nuits blanches.
Mais bon, faut pas non plus se laisser aveugler par les beaux discours. Toute cette histoire de "boucliers financiers" et de "nouvelles frontières de la finance", ça pue un peu le marketing à plein nez. On dirait qu'ils essaient de nous vendre du rêve avec leurs trucs de tokenisation et d'IA.
Ceci dit, je dois reconnaître que certaines de leurs idées ont l'air plutôt malines. Les ELTIF 2.0 par exemple, ça pourrait être une bonne opportunité pour les petits investisseurs de mettre un pied dans le private equity. Et les Cat Bonds, c'est vrai que ça peut être un bon moyen de diversifier son portefeuille.
Après, faut pas déconner non plus. Toutes ces belles promesses de rendements mirobolants, ça cache forcément des risques. Faudrait pas que les gens se jettent tête baissée là-dedans sans réfléchir.
En tout cas, une chose est sûre : ces mecs-là savent y faire pour attirer le chaland. Entre leur track record industriel, leurs partenariats prestigieux et leur blabla techno, ils ont de quoi en mettre plein la vue. Reste à voir si derrière les belles paroles, y a vraiment de la substance.
Perso, je reste prudent. C'est bien beau tout ça, mais faut pas oublier que dans la finance, y a pas de miracle. Celui qui promet monts et merveilles, c'est souvent celui qui te plume à la fin. Méfiance, méfiance...