Le ministère de la Justice des États-Unis a récemment intensifié la pression sur l'économie parallèle alimentée par la crypto-monnaie de Pyongyang. Les autorités fédérales ont saisi un nouveau lot d'actifs numériques liés au réseau de financement illicite de la Corée du Nord. Cette répression vise la manière dont le régime prétend convertir la crypto-monnaie volée en liquidités opérationnelles, contournant ainsi les sanctions traditionnelles. L'offensive en cours du DOJ signale un examen approfondi des schémas de blanchiment d'argent basés sur la blockchain liés à des groupes de hackers soutenus par l'État.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
14 J'aime
Récompense
14
3
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
probably_nothing_anon
· 11-15 20:04
ngl cette fois ça devient sérieux, le ministère de la Justice américain ne rigole vraiment pas... les jetons volés de Corée du Nord ont tous été bloqués, comment vont-ils piéger maintenant ?
Voir l'originalRépondre0
LayerZeroHero
· 11-15 19:54
ngl, la Corée du Nord compte encore sur le blanchiment de capitaux en volant des jetons, le FBI américain ne reste vraiment pas inactif... Comment sont les compétences de ces gars, peuvent-ils échapper au suivi off-chain ?
Voir l'originalRépondre0
PriceOracleFairy
· 11-15 19:50
franchement, le doj finit par rattraper ce que nous suivions on-chain depuis des mois... ces modèles de transaction criaient énergie sponsorisée par l'État lol
Le ministère de la Justice des États-Unis a récemment intensifié la pression sur l'économie parallèle alimentée par la crypto-monnaie de Pyongyang. Les autorités fédérales ont saisi un nouveau lot d'actifs numériques liés au réseau de financement illicite de la Corée du Nord. Cette répression vise la manière dont le régime prétend convertir la crypto-monnaie volée en liquidités opérationnelles, contournant ainsi les sanctions traditionnelles. L'offensive en cours du DOJ signale un examen approfondi des schémas de blanchiment d'argent basés sur la blockchain liés à des groupes de hackers soutenus par l'État.