Des rapports récents révèlent un pari diplomatique à enjeux élevés qui n’a abouti à rien. Les dirigeants du Venezuela auraient approché Trump avec une proposition accrocheuse : l'accès à une portion substantielle des réserves pétrolières du pays — estimées à environ 300 milliards de barils, parmi les plus grandes dépôts prouvés au monde.
L'offre ne s'est jamais concrétisée en un accord. Trump a finalement mis fin à ces discussions, laissant la proposition sur la table.
Dans l'intervalle, Washington a déployé son plus grand atout naval dans les eaux près du Venezuela. Ce mouvement a été largement interprété comme une tactique de pression, visant à renforcer la position de négociation des États-Unis par une présence militaire plutôt que par des concessions diplomatiques.
L'épisode souligne comment les ressources énergétiques continuent de façonner les manœuvres géopolitiques, même lorsque les accords échouent. Pour les marchés surveillant les flux de matières premières et la politique de sanctions, ce genre de négociations en coulisses est important — surtout lorsqu'elles impliquent des réserves d'une telle ampleur.
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SquidTeacher
· Il y a 14h
300 milliards de barils de champs pétroliers à portée de main, et la négociation peut échouer, le niveau de négociation est vraiment incroyable
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Dès qu'un navire de guerre arrive, tout devient négociable, c'est ça la diplomatie à l'américaine
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L'énergie est toujours au cœur de la géopolitique, ce piège se répète cent fois et il y a toujours des gens qui mordent à l'hameçon
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Attendez, Trump veut vraiment 30% des bénéfices des champs pétroliers ? Cette offre est vraiment folle
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Ces manigances en coulisses, les gens ordinaires ne peuvent pas les voir
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Menace militaire + rupture des négociations, c'est la stratégie standard, le marché des capitaux devrait exploser
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300 milliards de barils ne sortent pas, mais un porte-avions arrive à la place, c'est pas une perte ?
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Le Venezuela pense vraiment que les champs pétroliers peuvent être échangés contre quoi que ce soit ? C'est une illusion.
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LayerZeroHero
· Il y a 14h
Il s'avère que peu importe la quantité de réserves de pétrole, cela ne peut pas résister à la prime de risque politique... 30 milliards de barils semble absurde, mais les données off-chain montrent que la cote de crédit du Venezuela est déjà tombée au plus bas.
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InfraVibes
· Il y a 14h
300 milliards de barils de pétrole peuvent être jetés au visage, c'est vraiment un travail difficile... Il semble que la carte pétrolière et gazière doit encore être soutenue par des porte-avions.
Des rapports récents révèlent un pari diplomatique à enjeux élevés qui n’a abouti à rien. Les dirigeants du Venezuela auraient approché Trump avec une proposition accrocheuse : l'accès à une portion substantielle des réserves pétrolières du pays — estimées à environ 300 milliards de barils, parmi les plus grandes dépôts prouvés au monde.
L'offre ne s'est jamais concrétisée en un accord. Trump a finalement mis fin à ces discussions, laissant la proposition sur la table.
Dans l'intervalle, Washington a déployé son plus grand atout naval dans les eaux près du Venezuela. Ce mouvement a été largement interprété comme une tactique de pression, visant à renforcer la position de négociation des États-Unis par une présence militaire plutôt que par des concessions diplomatiques.
L'épisode souligne comment les ressources énergétiques continuent de façonner les manœuvres géopolitiques, même lorsque les accords échouent. Pour les marchés surveillant les flux de matières premières et la politique de sanctions, ce genre de négociations en coulisses est important — surtout lorsqu'elles impliquent des réserves d'une telle ampleur.