Le ministre de l'Économie suisse, Guy Parmelin, ne fait pas marche arrière sur l'accord commercial que son pays vient de conclure avec Washington. Les critiques se sont exprimées de manière virulente sur cet accord, mais Parmelin le défend avec vigueur.
Voici ce qui s'est réellement passé : les exportations suisses faisaient face à un mur tarifaire brutal de 39 %. Le nouvel accord préliminaire réduit cela à 15 % pour la plupart des biens suisses se dirigeant vers le marché américain. Ce n'est pas une petite somme quand il s'agit d'une grande économie d'exportation.
La pression politique est intense chez nous. Certaines voix affirment que la Suisse a cédé trop ou agi trop vite. Mais du côté de Parmelin ? Il reste ferme, soutenant que l'accord protège les intérêts économiques suisses à un moment critique où les tensions commerciales redessinent le commerce mondial.
Pour ceux qui suivent les tendances macroéconomiques, ce type de changement dans le commerce bilatéral est important. Lorsque les grandes économies renégocient leurs conditions, cela a des répercussions sur les marchés des devises, les flux de matières premières, et affecte finalement l'appétit pour le risque dans toutes les classes d'actifs. Que vous suiviez les marchés traditionnels ou les actifs numériques, ces mouvements politiques définissent le tempo du mouvement des capitaux.
La réduction tarifaire de 24 points peut sembler technique, mais c'est le genre de changement structurel qui permet aux fabricants suisses de rester compétitifs et à leur économie de prospérer. Et dans le paysage financier interconnecté d'aujourd'hui, cette stabilité compte plus que jamais.
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WhaleWatcher
· Il y a 7h
39% coupé à 15%, la Suisse a aussi été poussée dans ses retranchements, mais à vrai dire, c'est plus intelligent que de résister frontalement...
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ZeroRushCaptain
· Il y a 7h
39% réduit à 15%, cette opération est vraiment brutale... Mais en parlant de cela, ce que je crains le plus en tant que vieux pigeons, ce sont ces nouvelles "apparemment positives". La dernière fois, j'étais convaincu que le protocole européen était une valeur sûre, et qu'est-ce qui s'est passé ? Effondrement de 50.
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MEVictim
· Il y a 7h
ngl 39% coupé à 15% il faut quand même le faire, si l'industrie suisse ne bouge pas, elle va vraiment être condamnée.
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MetaverseLandlord
· Il y a 7h
39% descendu à 15%, la Suisse ne perd vraiment pas cette fois, pourquoi y a-t-il encore des gens qui se plaignent là-bas
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DAOTruant
· Il y a 7h
39% réduit à 15 %, ce gars a vraiment du cran pour parier, avec tant de critiques domestiques, il peut encore tenir le coup... J'ai juste hâte de voir ce qui va se passer par la suite.
Le ministre de l'Économie suisse, Guy Parmelin, ne fait pas marche arrière sur l'accord commercial que son pays vient de conclure avec Washington. Les critiques se sont exprimées de manière virulente sur cet accord, mais Parmelin le défend avec vigueur.
Voici ce qui s'est réellement passé : les exportations suisses faisaient face à un mur tarifaire brutal de 39 %. Le nouvel accord préliminaire réduit cela à 15 % pour la plupart des biens suisses se dirigeant vers le marché américain. Ce n'est pas une petite somme quand il s'agit d'une grande économie d'exportation.
La pression politique est intense chez nous. Certaines voix affirment que la Suisse a cédé trop ou agi trop vite. Mais du côté de Parmelin ? Il reste ferme, soutenant que l'accord protège les intérêts économiques suisses à un moment critique où les tensions commerciales redessinent le commerce mondial.
Pour ceux qui suivent les tendances macroéconomiques, ce type de changement dans le commerce bilatéral est important. Lorsque les grandes économies renégocient leurs conditions, cela a des répercussions sur les marchés des devises, les flux de matières premières, et affecte finalement l'appétit pour le risque dans toutes les classes d'actifs. Que vous suiviez les marchés traditionnels ou les actifs numériques, ces mouvements politiques définissent le tempo du mouvement des capitaux.
La réduction tarifaire de 24 points peut sembler technique, mais c'est le genre de changement structurel qui permet aux fabricants suisses de rester compétitifs et à leur économie de prospérer. Et dans le paysage financier interconnecté d'aujourd'hui, cette stabilité compte plus que jamais.