Il y a quelque chose de plutôt magique dans le marché des cryptomonnaies - une multitude de projets qui crient "niveau institutionnel" tous les jours, mais quand on regarde de plus près : des stratégies aussi grossières que des devoirs de collège, une gestion des risques qui repose essentiellement sur la foi, et la logique de composition ? Inexistante. La méthodologie de configuration la plus basique du TradFi, personne ne l'utilise.
Jusqu'à ce que je me penche sur l'architecture stratégique du Lorenzo Protocol, je n'avais jamais pensé que les mots "niveau institutionnel" soient enfin pris au sérieux. Ce projet ne fait pas les choses à moitié, il a essayé de reproduire sur la chaîne la méthodologie utilisée dans la gestion d'actifs traditionnelle depuis des décennies. Ce n'est pas juste un coup de pub, c'est du travail sérieux.
Au départ, je me suis intéressé à Lorenzo parce qu'il ne suit pas les voies habituelles — il ne s'appuie pas sur les écarts de taux sur la chaîne et ne joue pas à ces astuces d'incitation pour créer un APR artificiellement élevé. Il décompose les actifs et les investit dans une série de stratégies traditionnelles que je connais bien : trading quantitatif, futures gérés, arbitrage de volatilité, gestion de trésorerie, produits structurés… Ces éléments composent sa gamme de produits OTF. Les sources de rendement sont diversifiées, il ne dépend pas d'une seule corde.
Plus je fais de recherches, plus je trouve que c'est logique. Cette approche combinée est particulièrement "TradFi", mais elle offre une couche de transparence sur la chaîne — c'est en fait plus propre que les fonds ordinaires, il est donc difficile de falsifier.
Ce qui m'a le plus touché : la stratégie de Lorenzo ne repose pas sur les gains spéculatifs, mais sur une logique sous-jacente "scalable et durable". Dans le TradFi, il existe une règle d'or pour les institutions qui gèrent des portefeuilles de revenus : la stratégie doit pouvoir fonctionner en continu, et l'augmentation de la taille des fonds ne doit pas rendre la stratégie inefficace. De nombreux projets sur la chaîne ne parviennent pas à réaliser cela, leurs gains
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Il y a quelque chose de plutôt magique dans le marché des cryptomonnaies - une multitude de projets qui crient "niveau institutionnel" tous les jours, mais quand on regarde de plus près : des stratégies aussi grossières que des devoirs de collège, une gestion des risques qui repose essentiellement sur la foi, et la logique de composition ? Inexistante. La méthodologie de configuration la plus basique du TradFi, personne ne l'utilise.
Jusqu'à ce que je me penche sur l'architecture stratégique du Lorenzo Protocol, je n'avais jamais pensé que les mots "niveau institutionnel" soient enfin pris au sérieux. Ce projet ne fait pas les choses à moitié, il a essayé de reproduire sur la chaîne la méthodologie utilisée dans la gestion d'actifs traditionnelle depuis des décennies. Ce n'est pas juste un coup de pub, c'est du travail sérieux.
Au départ, je me suis intéressé à Lorenzo parce qu'il ne suit pas les voies habituelles — il ne s'appuie pas sur les écarts de taux sur la chaîne et ne joue pas à ces astuces d'incitation pour créer un APR artificiellement élevé. Il décompose les actifs et les investit dans une série de stratégies traditionnelles que je connais bien : trading quantitatif, futures gérés, arbitrage de volatilité, gestion de trésorerie, produits structurés… Ces éléments composent sa gamme de produits OTF. Les sources de rendement sont diversifiées, il ne dépend pas d'une seule corde.
Plus je fais de recherches, plus je trouve que c'est logique. Cette approche combinée est particulièrement "TradFi", mais elle offre une couche de transparence sur la chaîne — c'est en fait plus propre que les fonds ordinaires, il est donc difficile de falsifier.
Ce qui m'a le plus touché : la stratégie de Lorenzo ne repose pas sur les gains spéculatifs, mais sur une logique sous-jacente "scalable et durable". Dans le TradFi, il existe une règle d'or pour les institutions qui gèrent des portefeuilles de revenus : la stratégie doit pouvoir fonctionner en continu, et l'augmentation de la taille des fonds ne doit pas rendre la stratégie inefficace. De nombreux projets sur la chaîne ne parviennent pas à réaliser cela, leurs gains