Un homme du Nouveau-Mexique vient d’écoper de près de 10 mois de prison fédérale. Son crime ? Avoir utilisé des plateformes de réseaux sociaux pour publier des menaces violentes visant le président Trump.
Les autorités fédérales ont clairement indiqué cette semaine que les menaces en ligne entraînent des conséquences bien réelles. Cette affaire met en lumière le fait que les plateformes sociales sont de plus en plus surveillées en matière de modération de contenu et de comportement des utilisateurs. Ce qui se passe sur votre fil d’actualité ne reste plus cantonné à votre fil — surtout lorsque cela franchit la ligne du criminel.
Cette condamnation rappelle une fois de plus que, décentralisé ou non, la loi s’applique toujours à ce que vous publiez en ligne. Que ce soit sur Twitter, Telegram ou toute plateforme sociale Web3, proférer des menaces de violence peut vous attirer de sérieux ennuis judiciaires.
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DAOTruant
· 12-05 07:37
Haha, ce gars-là est vraiment audacieux, il prend le cyberharcèlement au sérieux ?
Il parle de menaces comme si c’en était vraiment, il cherche les ennuis tout seul…
Attends, même décentralisé, ça ne te protège pas, la loi reste la loi.
Ceux qui jouent avec la crypto doivent faire encore plus attention, même si la plateforme est décentralisée, il y a toujours quelqu’un qui surveille.
Dix mois, quand même, le prix à payer est élevé.
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AirdropHunter420
· 12-04 01:10
Eh, ce gars est vraiment stupide, il s'est fait attraper après avoir fanfaronné en ligne, bien fait pour lui.
Maintenant il doit comprendre que la liberté d'expression a aussi des limites, faut pas croire qu'on est intouchable derrière un écran.
Je l'ai toujours dit, que ce soit sur une plateforme centralisée ou Web3, enfreindre la loi, c'est enfreindre la loi ; il y a trop de gens qui ne comprennent pas ça.
Pour être honnête, certaines personnes méritent vraiment d'être recadrées, ils sortent des propos violents à la moindre occasion...
Même le Web3 ne pourra pas te sauver si tu balances des menaces de mort, haha.
Ce genre d'affaire sert en fait d'avertissement à tout le monde, faut pas jouer avec le feu.
Mon dieu, dix mois juste pour quelques tweets... c'est dur mais ça fait un peu plaisir aussi.
Liberté d'expression ≠ dire n'importe quoi, il faut vraiment comprendre la différence.
Encore un rappel pour tous : le cyberharcèlement peut vraiment mener à des poursuites, ne tentez pas le diable.
La loi t'attrapera même derrière un écran, prenez-en de la graine.
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GasFeeNightmare
· 12-04 01:09
Eh ben, on peut même finir au poste pour des propos virulents en ligne... Il vaut mieux rester prudent.
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MetaMuskRat
· 12-04 01:07
Ce n'est qu'un prétexte pour manipuler la liberté d'expression, Internet devrait être un espace de liberté d'expression.
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Encore en train de tondre les petits investisseurs, le gouvernement américain est vraiment risible.
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C'est pour ça que je ne joue que sur des blockchains anonymes.
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Vraiment ? Alors pourquoi ces comptes sur Twitter sont-ils toujours actifs ?
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Même le web3 n'échappe pas à la juridiction à longue portée, réveillez-vous les gars.
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Mort de rire, le rêve de la décentralisation s'est effondré.
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Dix mois, c'est un peu dur, une phrase suffit pour finir en prison.
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Tu as raison, ne parle pas n'importe comment, si tu es repéré c'est fini.
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La loi s'applique désormais à Internet, alors à quoi bon parler de droit à la vie privée ?
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Les critères d’application de la loi aux États-Unis sont vraiment différents, quelques critiques et c’est la prison.
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AlwaysMissingTops
· 12-04 01:06
Putain, dix mois ? Juste pour avoir posté une menace ? C’est vachement sévère.
Le réseau n’est vraiment pas libre, tout est surveillé.
Ce gars-là n’a vraiment pas réfléchi, à notre époque, il fait encore ce genre de trucs…
La loi s’applique sur toutes les plateformes, si tu dois être arrêté, tu le seras.
L’époque où l’on pouvait dire tout ce qu’on voulait est vraiment révolue.
D’ailleurs, ce genre de cas devient de plus en plus fréquent.
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MetaMaximalist
· 12-04 00:53
Franchement, c'est exactement pour ça que la gouvernance des protocoles est plus importante que ce que la plupart des gens réalisent. Décentralisé ne veut pas dire sans règles—c'est une méprise fondamentale qui freine l'adoption grand public en ce moment.
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FUD_Whisperer
· 12-04 00:45
Haha, la cyber-violence, tu ne peux vraiment pas y échapper, la prison fédérale t’attend.
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Encore un qui finit dedans à cause de sa grande gueule, c’est le prix à payer mon frère.
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Tu vois, même la décentralisation ne peut rien face à la loi, de belles paroles ne servent à rien.
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Dix mois, juste pour avoir posté deux tweets de menace... Une leçon sanglante.
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Je l’ai toujours dit, Telegram, Twitter, c’est pareil, devant la loi, il n’y a pas de zone spéciale.
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Ce gars l’a bien cherché, être grossier en ligne n’a rien d’intelligent.
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Donc, les amis, même les keyboard warriors doivent en payer le prix.
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Même sur les plateformes sociales web3, tu ne peux pas t’échapper, tu penses encore qu’anonyme veut dire tout permis ?
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Dix mois de prison pour une leçon, ça vaut le coup ou pas, à toi de voir.
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La fédérale, ce n’est vraiment pas une blague, oser menacer le président ? Direct en prison.
Un homme du Nouveau-Mexique vient d’écoper de près de 10 mois de prison fédérale. Son crime ? Avoir utilisé des plateformes de réseaux sociaux pour publier des menaces violentes visant le président Trump.
Les autorités fédérales ont clairement indiqué cette semaine que les menaces en ligne entraînent des conséquences bien réelles. Cette affaire met en lumière le fait que les plateformes sociales sont de plus en plus surveillées en matière de modération de contenu et de comportement des utilisateurs. Ce qui se passe sur votre fil d’actualité ne reste plus cantonné à votre fil — surtout lorsque cela franchit la ligne du criminel.
Cette condamnation rappelle une fois de plus que, décentralisé ou non, la loi s’applique toujours à ce que vous publiez en ligne. Que ce soit sur Twitter, Telegram ou toute plateforme sociale Web3, proférer des menaces de violence peut vous attirer de sérieux ennuis judiciaires.