Hier, j’ai discuté avec quelques amis de la communauté d’une idée assez intéressante : peut-on utiliser les preuves à divulgation nulle de connaissance pour faire évoluer l’audit des robots ?
La logique traditionnelle de l’audit consiste à examiner les journaux d’opérations, mais il y a un problème : il faut tout décortiquer pour voir ce que le robot a fait. Cette méthode devient gênante dans un système autonome.
Et si on changeait d’approche ? Le robot ne prouverait que « j’ai accompli la mission », sans avoir à révéler comment il l’a accomplie. C’est là toute la valeur des preuves à divulgation nulle de connaissance : valider le résultat, sans s’immiscer dans le processus.
Cela permet de résoudre deux problèmes majeurs : d’abord, les robots autonomes craignent par-dessus tout la fuite d’informations, car dès que les détails de leur stratégie sont exposés, ils perdent tout avantage concurrentiel ; ensuite, dans un environnement réseau à grande échelle, si chaque nœud doit traiter une montagne de journaux d’opérations, le flux d’exécution sera étouffé par le bruit informationnel.
Avec la bonne direction technique, l’efficacité du déploiement pourra suivre.
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GasFeePhobia
· 12-08 19:24
La logique derrière l’audit zk est effectivement géniale, mais on ne sait pas vraiment comment cela sera mis en œuvre concrètement.
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BoredWatcher
· 12-07 16:53
L’utilisation des preuves à divulgation nulle de connaissance dans l’audit est vraiment brillante : cela permet à la fois de protéger la vie privée et de se débarrasser du fardeau des données redondantes.
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GateUser-addcaaf7
· 12-07 16:45
Ah, cette approche est vraiment géniale : elle combine confidentialité et efficacité.
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MetaverseVagabond
· 12-07 16:45
Cette approche est vraiment brillante, elle touche directement le point sensible des systèmes autonomes.
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C'est vraiment là que la preuve à divulgation nulle de connaissance trouve sa place, c'est bien plus fiable que de parcourir les journaux.
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Mais au fond, comment équilibrer protection de la vie privée et transparence ? J'ai toujours l'impression que certains vont en profiter.
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Tu as raison, les nœuds n'ont plus à gérer des tonnes de journaux, l'efficacité va s'envoler.
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Si ça se concrétise, toute la logique d'audit devra être réécrite, c'est assez excitant.
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Je suis d'accord pour la compétitivité sur la confidentialité, mais il faut vraiment réfléchir à comment les nœuds peuvent vérifier que "c'est vraiment fait".
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Enfin quelqu'un pense à allier confidentialité et efficacité, c'est la bonne voie.
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Ça a l'air super sur le papier, mais j'ai peur que la mise en œuvre soit une autre histoire.
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BlockchainWorker
· 12-07 16:30
La preuve à connaissance nulle est en effet très intéressante, on a vraiment l’impression de saisir à la fois la confidentialité et l’efficacité.
Hier, j’ai discuté avec quelques amis de la communauté d’une idée assez intéressante : peut-on utiliser les preuves à divulgation nulle de connaissance pour faire évoluer l’audit des robots ?
La logique traditionnelle de l’audit consiste à examiner les journaux d’opérations, mais il y a un problème : il faut tout décortiquer pour voir ce que le robot a fait. Cette méthode devient gênante dans un système autonome.
Et si on changeait d’approche ? Le robot ne prouverait que « j’ai accompli la mission », sans avoir à révéler comment il l’a accomplie. C’est là toute la valeur des preuves à divulgation nulle de connaissance : valider le résultat, sans s’immiscer dans le processus.
Cela permet de résoudre deux problèmes majeurs : d’abord, les robots autonomes craignent par-dessus tout la fuite d’informations, car dès que les détails de leur stratégie sont exposés, ils perdent tout avantage concurrentiel ; ensuite, dans un environnement réseau à grande échelle, si chaque nœud doit traiter une montagne de journaux d’opérations, le flux d’exécution sera étouffé par le bruit informationnel.
Avec la bonne direction technique, l’efficacité du déploiement pourra suivre.