Les autorités australiennes ont démantelé une opération criminelle importante impliquant le blanchiment de cryptomonnaies, arrêtant 55 personnes et saisissant 37,9 millions de dollars en actifs numériques dans le cadre d’une opération conjointe de plusieurs agences.
La police d’Australie-Méridionale, en collaboration avec la police fédérale australienne et le FBI, a déposé 800 chefs d’accusation contre 55 suspects lors de la troisième phase de l’Opération Ironside. L’opération visait un réseau criminel international lié au trafic de drogues, au blanchiment d’argent et aux transactions en cryptomonnaies. Des perquisitions à travers l’Australie-Méridionale ont conduit aux arrestations, avec 300 agents impliqués dans l’opération. La commissaire adjointe de police Linda Williams a qualifié le résultat de « coup dur pour le crime organisé », soulignant qu’il s’agit de l’une des plus grandes opérations de démantèlement de l’histoire de l’État.
Arrestations : 55 suspects inculpés.
Chefs d’accusation : 800 chefs, notamment pour blanchiment d’argent et trafic de drogues.
Échelle de l’opération : 300 agents ; effort multi-agences.
Saisie de cryptomonnaies : 37,9 millions de dollars d’actifs confisqués
Les enquêteurs ont récupéré environ 37,9 millions de dollars australiens en cryptomonnaies liées aux activités criminelles. La saisie s’inscrit dans un effort plus large de récupération, comprenant de l’argent liquide, des véhicules et d’autres gains illicites. La cryptomonnaie, associée aux opérations de blanchiment, souligne le rôle croissant des actifs numériques dans les réseaux criminels mondiaux. Les fonds seront conservés en attendant la procédure judiciaire, avec une possible confiscation pour soutenir des programmes communautaires.
Application AN0M et rôle du FBI dans le démantèlement
La percée est due à l’application AN0M du FBI, un outil de communication cryptée contrôlé secrètement par les forces de l’ordre pour surveiller les réseaux criminels. Distribuée via des téléphones modifiés dépourvus de caméras, GPS ou navigateurs, AN0M a intercepté des messages liés au trafic de drogues et au blanchiment de cryptomonnaies. L’approbation par la Cour suprême des données d’AN0M comme preuve a permis les raids de la phase 3. La commissaire Krissy Barrett de la police fédérale australienne a souligné le « travail miraculeux » des data scientists dans le déchiffrement des portefeuilles cryptographiques, notamment un accès à une phrase de récupération de 24 mots pour saisir 5,9 millions de dollars.
Implications plus larges pour la cryptomonnaie et la criminalité
L’opération, partie d’un effort mondial ayant conduit à près de 1 000 arrestations dans le monde, démontre la sophistication croissante des forces de l’ordre dans la lutte contre la criminalité liée aux cryptomonnaies. Elle a impliqué la saisie d’armes, de cocaïne et d’autres contrebandes, avec des sanctions civiles et des enquêtes en cours prévues. L’affaire souligne la nécessité d’un renforcement de la conformité dans la gestion des actifs numériques, alors que les autorités récupèrent chaque année des milliards de dollars en fonds illicites via de telles task forces.
En résumé, les arrestations et la saisie de 37,9 millions de dollars constituent une victoire importante contre la criminalité liée aux cryptomonnaies, renforçant la nécessité de cadres réglementaires solides pour équilibrer innovation et sécurité dans le paysage financier en évolution.
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La police australienne démantèle un important réseau criminel lié à la cryptomonnaie : 55 arrestations, 37,9 millions de dollars saisis
Les autorités australiennes ont démantelé une opération criminelle importante impliquant le blanchiment de cryptomonnaies, arrêtant 55 personnes et saisissant 37,9 millions de dollars en actifs numériques dans le cadre d’une opération conjointe de plusieurs agences.
Opération Ironside Phase 3 : 55 arrestations et 800 chefs d’accusation
La police d’Australie-Méridionale, en collaboration avec la police fédérale australienne et le FBI, a déposé 800 chefs d’accusation contre 55 suspects lors de la troisième phase de l’Opération Ironside. L’opération visait un réseau criminel international lié au trafic de drogues, au blanchiment d’argent et aux transactions en cryptomonnaies. Des perquisitions à travers l’Australie-Méridionale ont conduit aux arrestations, avec 300 agents impliqués dans l’opération. La commissaire adjointe de police Linda Williams a qualifié le résultat de « coup dur pour le crime organisé », soulignant qu’il s’agit de l’une des plus grandes opérations de démantèlement de l’histoire de l’État.
Saisie de cryptomonnaies : 37,9 millions de dollars d’actifs confisqués
Les enquêteurs ont récupéré environ 37,9 millions de dollars australiens en cryptomonnaies liées aux activités criminelles. La saisie s’inscrit dans un effort plus large de récupération, comprenant de l’argent liquide, des véhicules et d’autres gains illicites. La cryptomonnaie, associée aux opérations de blanchiment, souligne le rôle croissant des actifs numériques dans les réseaux criminels mondiaux. Les fonds seront conservés en attendant la procédure judiciaire, avec une possible confiscation pour soutenir des programmes communautaires.
Application AN0M et rôle du FBI dans le démantèlement
La percée est due à l’application AN0M du FBI, un outil de communication cryptée contrôlé secrètement par les forces de l’ordre pour surveiller les réseaux criminels. Distribuée via des téléphones modifiés dépourvus de caméras, GPS ou navigateurs, AN0M a intercepté des messages liés au trafic de drogues et au blanchiment de cryptomonnaies. L’approbation par la Cour suprême des données d’AN0M comme preuve a permis les raids de la phase 3. La commissaire Krissy Barrett de la police fédérale australienne a souligné le « travail miraculeux » des data scientists dans le déchiffrement des portefeuilles cryptographiques, notamment un accès à une phrase de récupération de 24 mots pour saisir 5,9 millions de dollars.
Implications plus larges pour la cryptomonnaie et la criminalité
L’opération, partie d’un effort mondial ayant conduit à près de 1 000 arrestations dans le monde, démontre la sophistication croissante des forces de l’ordre dans la lutte contre la criminalité liée aux cryptomonnaies. Elle a impliqué la saisie d’armes, de cocaïne et d’autres contrebandes, avec des sanctions civiles et des enquêtes en cours prévues. L’affaire souligne la nécessité d’un renforcement de la conformité dans la gestion des actifs numériques, alors que les autorités récupèrent chaque année des milliards de dollars en fonds illicites via de telles task forces.
En résumé, les arrestations et la saisie de 37,9 millions de dollars constituent une victoire importante contre la criminalité liée aux cryptomonnaies, renforçant la nécessité de cadres réglementaires solides pour équilibrer innovation et sécurité dans le paysage financier en évolution.